Retour sur Seven en 2014 ? Finalement non, schéma et plan d’action
Plan d’action pour repenser la façon d’utiliser ma machine en vue de plus de stabilité avec toujours des logiciels libres.
Plan d’action pour repenser la façon d’utiliser ma machine en vue de plus de stabilité avec toujours des logiciels libres.
Chute des ventes de PC et son corollaire : disparition d’un environnement ou GNU/Linux pouvait exister.
Nouvel ordinateur portable, nouveau choix de distribution GNU/Linux. Cette fois c’est Ubuntu qui l’emporte faute de temps pour configurer une Debian plus libre.
Grâce aux progrès du projet Bumblebee qui permet le support d’Optimus, j’ai pu revenir à ma distribution préférée : Debian.
Voici le compte-rendu d’une expérience que j’ai réalisée pour voir un peu où en était la virtualisation sous Windows d’un système d’exploitation GNU/Linux et plus particulièrement la prise en charge de l’accélération graphique.
La technologie Optimus lié aux cartes graphiques de Nvidia est apparue en début 2010. Si le support de cette technologie ne pose pas de problèmes sous Windows, il en va tout autrement sur les distributions GNU/Linux.
AMD réplique à la technologie Optimus avec la version 4 de sa technologie PowerExpress de son processeur graphique Radeon. Mais à ce jour aucune distribution GNU/Linux ne prend en charge ces technologies.
Un titre d’article en forme de Hourra, puisque j’ai enfin pu faire marcher ma carte Nvidia et ne pas me contenter du processeur graphique intégré dans l’Intel icore 3. Cerise sur le gâteau, les performances graphiques sont meilleures sous Fedora que Windows.