N900 premières impressions / Google libère VP8 / Pas d’éditeur open source sans communauté

Cet article a été publié il y a 13 ans 11 mois , il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées.

N900 premières impressions

Après avoir dû faire un bureau de poste, une agence Chronopost puis finalement finir dans un centre de tri de La Poste, j’ai enfin pu récupérer le fameux Nokia N900 qui m’a valu les foudres de quelques’un. Je ne reviens pas sur l’épisode, je crois que tout a été dit dans les commentaires et si c’était à refaire je m’y prendrais autrement c’est évident.

Pour l’instant je me suis contenté de le configurer pour accéder à mon réseau Wifi, ce qui m’a permis de mettre à jour l’OS Maemo et de visiter un ou deux sites pour voir ce que cela pouvait donner. Pas de mauvaises surprises, ça marche. J’ai installé quelques logiciels complémentaires comme Firefox Mobile qui hélas ne m’a pas fait une formidable impression. Je le trouve plutôt lent par rapport au navigateur installé de base. Par contre, j’ai pu installer et configurer weave et ainsi retrouver tous mes marques pages ce qui est extrêmement confortable.

Au programme ensuite : messagerie et surtout agenda et contact que je vais essayer de synchroniser avec Funambol que j’avais installé sur mon serveur pour synchroniser mon PC et mon vieux portable.

Google libère VP8

Tout le monde se demandait ce que Google allait faire du codec VP8 acquit au travers de la société On2 avec l’espoir que Google rendre ce codec ouvert et l’implémenter pour son service de vidéo en ligne Youtube en lieu et place du format Flash d’Adobe. Et bien Google a répondu à cet espoir. En ce qui me concerne, je ne peux que me réjouir des nouvelles qui permettent aux standards ouverts de progresser. Même si tout n’est pas simple et les perspectives pas évidentes à déterminer, cette nouvelle constitue une grande avancée dans un web ouvert.

Je ne suis pas trop étonné que Google y participe. Cela va dans son intérêt : maximiser les capacités d’accéder à internet quelque soit l’outil que l’on utilise. Mais pour cela il faut un web ouvert et non fermé et contrôlé par des technologies propriétaires. Ne boudons pas notre plaisir et restons vigilants car si en ce qui me concerne, je ne considére pas que Google c’est le diable, je reste en tout sur mes gardes notamment sur les tentations de ce dernier de devenir en quelque sorte « Le Web ».

Pas d’éditeur open source sans communauté

Denis Dorval vice-président EMEA d’Alfresco rappel ldans une interview combien la présence d’une forte communauté auprès d’un éditeur de logiciel open source est importante. Alfresco se distingue par la taille de sa communauté de développeurs de plus de 150 000 membres au niveau mondial et de 2 200 membres en France. Un beau succès de ce point de vue. Dans le même ordre d’esprit, ladite-communauté ne doit pas oublier de s’organiser pour assurer la protection de ces intérêts.

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Bon week-end à toutes et à tous !